Le SCoT promeut le développement d'un urbanisme ambitieux qui doit répondre à la volonté d'économie de terres agricoles, naturelles et forestières tout en améliorant le cadre de vie et le vivre ensemble.
Le schéma de cohérence territoriale est un outil de planification qui s'inscrit dans le long terme. Il définit les grands principes et des règles communes pour le bassin de vie du Grand Rovaltain pour les 25 années à venir.
En matière d'urbanisme, en particulier, le SCoT a des applications concrètes sur les choix du développement local puisque les documents d'urbanisme des communes et des Epci doivent être compatibles avec le schéma. A travers ces documents d'urbanisme il impacte des champs variés de l'urbanisme, des choix des secteurs à urbaniser jusqu'à la définition de prescriptions pour l'amélioration de la qualité et du cadre de vie dans les villes et villages.
Ci dessous les fiches outils du SCoT en lien avec la thématique "Aménagement et urbanisme" qui accompagnent la mise en oeuvre du schéma.
Le Plan d'Aménagement et de Développement Durables du SCoT du Grand Rovaltain affirme la volonté des élus du territoire de réduire de manière significative la consommation foncière et fixe l'objectif de réduire la consommation de terres agricoles, naturelles et forestières.
Les dernières décennies ont été marquées par une désynchronisation du développement démographique et de la consommation foncière. La volonté du SCoT porte sur un réajustement et une rationalisation de ces évolutions. En premier lieu il s'agit de recentrer le développement dans les villes et les bourgs tout en permettant le développement de campagne vivante. En second lieu il convient de réduire la consommation foncière en optimisant le développement de l'urbanisation : construire mieux en consommant moins.
Ainsi le SCoT incite à une rationalisation de la taille des terrains et un travail sur la typologie des habitations à produire. Ces ambitions sont confortées par la réalité du marché du coût de l'immobilier qui implique la réduction de la taille des terrains.
En conséquence, le schéma de cohérence territoriale fixe des objectifs ambitieux pour garantir un développement de l'urbanisation favorable à la qualité de vie à travers des formes urbaines et architecturales adaptées et innovantes, des mobilités intégrées et décarbonées, une présence préservée de la nature en ville et de la biodiversité.
Les élus du Grand Rovaltain ont participé un l’Atelier-Jeu « Ma commune à la carte » ou comment faire des projets d’urbanisme de qualité sur un territoire rural ?
Le SCoT a été accueilli par la commune de Peyrus dont le territoire a servi de démonstrateur pour l'atelier.
L'atelier a eu lieu vendredi 12 avril et a été animé par le CAUE de la Drôme et le CAUE de l'Ardèche.
Le groupe de réflexion sur la ruralité et le modèle d'urbanisme villageois s'est réuni pour sa seconde session de travail le 21 avril.
Dans la poursuite des travaux du 24 février dernier, les membres du GR ont abordé les thématiques du paysage, de l'emploi et des activités ainsi que des services et équipements.
Le groupe de réflexion sur la ruralité et le modèle d'urbanisme villageois a été lancé le vendredi 24 février dernier. Les travaux de ce groupe vont permettre d'alimenter ce chantier majeur de la révision du SCoT.
Cette première séance été dédiée à la définition et la caractérisation des territoires ruraux du Grand Rovaltain.
Le document regroupe et hiérarchise les éléments des thématiques "Urbanisme et Aménagement" compris dans le Plan d'Aménagement et de Développement Durables (PADD) et le Document d'Orientations et d'Objectifs (DOO) du schéma. Il sera accompagné à terme de fiches outils pour illustrer et décrire certaines orientations du schéma.
Recueil d'exemples d'opérations d'urbanisme illustrant des densités, formes urbaines et mixité sur le territoire du Grand Rovaltain.
Lien vers l'essai d'Henri Landes "Repeupler les campagnes" ou Comment organiser l’exode urbain pour répondre à l’urgence écologique.
Résumé : Face à l’urgence écologique, institutions et citoyens entreprennent des politiques de ville durable, d’agriculture urbaine, de consommation locale… Autant d’efforts aussi louables et nécessaires qu’inéluctablement limités. Un élément fondamental est oublié : le lieu de vie de la population.